Les ateliers des vacances sont complets pour les 6-12ans, seul le workshop à destination des 13-17ans reste ouvert aux inscriptions. https://www.transurbaines.com/frac
Pour aller plus loin dans l’exposition, découvrez l’interview réalisée par l’Onde Porteuse avec Laura Henno et Nakini. Cliquez-ici !
SAMEDI 2 NOVEMBRE
CULTURE ACCESSIBLE – VISITE DESCRIPTIVE
14h
Une visite descriptive adaptée aux personnes déficientes visuelles est proposée pour découvrir l’exposition consacrée à Laura Henno.
Visite gratuite, sur inscription au 0473905000 ou à l’adresse mail suivante : publics@fracauvergne.com
JEUDI 31 OCTOBRE
TRANS’URBAINES AU FRAC !
Initiation à l’écriture rap
Fraid propose un workshop à destination des 13-17ans. Dans cet atelier, développez votre flow en découvrant les techniques essentielles d’ériture pour apprendre à jouer avec les mots, enrichir vos rimes et à explorer les différents registres du langage.
– 10h à 12h / 13h30 à 16h30
– 20€ la journée
– Sur inscription (publics@fracauvergne.com; 0473905000)
Performance rap et musique
Après une restitution des ateliers, Fraid accompagné par Exiley Dahomé propose une performance en écho aux oeuvre de l’exposition
– 17h
– Entrée libre et gratuite
LAURA HENNO
M’Tsamboro
Du 29 juin au 3 novembre 2024
Le Frac Auvergne présente une exposition majeure consacrée à la réalisatrice et photographe Laura Henno, réunissant pour la première fois une partie significative du travail que l’artiste a réalisé ces dernières années au cœur de l’océan Indien.
Dès 2013, Laura Henno s’est immergée plusieurs semaines par an au sein de l’archipel des Comores pour rencontrer les communautés vivant en marge de ce territoire morcelé par une géopolitique complexe. Pour rendre compte au plus juste de ces populations invisibilisées, elle inscrit son travail sur un temps long et privilégie une démarche à la fois empirique et éminemment sensible. D’une rencontre à l’autre, d’un territoire à l’autre, Laura Henno construit patiemment son corpus qui se livre à la manière d’une histoire sans paroles. Ce silence est sans doute l’une des plus belles réponses face aux échos bruyants d’un monde qui semble avoir oublié la notion de nuance. Depuis près de quinze ans, cette notion ne quitte pas l’artiste pour mettre en forme, loin de tout discours complaisant ou stigmatisant, un récit de la marge qu’elle prend soin d’écrire avec et depuis ceux qui la vivent.
Laure Forlay, commissaire d’exposition